Kimi Koi Limit
- Aqui'
- 14 nov. 2015
- 4 min de lecture
-Note De Début:
-[Pareil que sur Panty & Stocking] Je vous passerais bien les OST de Kimi Koi Limit pour la symbolique mais en fait c'est un fichier texte donc je peux pas et en plus c'est un manga, pas un anime, donc c'est moins bien fourni en OST.
-Bon c'est du Yuri alors je parle des scene de cul, mais c'est bien des scenes de niveau Yuri, on est assez loin du hentai/porn hein.... (tentative pour rassurer les gens et moi même)
-Phase De Présentation :
Manga en un seul volume de neuf chapitres (environ 150 pages) publié en mai 2010 et de type Slice Of Life, Romance, Yuri. Ceci écrit et dessiné par Moto Momono qui a fait entre autres Yuri Hime, Rainy Song ou Sakura (perso j'ai lu que le one shot "Hidden in Dusk" tiré de True True un ensemble d'histoires courtes). Pas licencié en France mais en même temps niveau Yuri on n'a pas grand chose, les Yaoi se vendent mieux apparemment.... bref.
-Synopsis :
Durant le lycée, Sono déclare son amour a Satomi (Sato) mais celle-ci se voit rejetée froidement par son amie. Nous retrouvons quelques temps plus tard Sono en couple avec une nouvelle compagne, Hiroko mais notre Sono est toujours amoureuse de Sato malgré sa nouvelle situation avec Hiroko...
-Personnages :
Sono
Après la déception de sa relation amoureuse rêvée avec son amie Satomi, elle finira en couple avec Hiroko. Jeune fille honnête et très attaché à son amour de lycée.

Satomi
"Belle, cool, intelligente, fiable et parfaite" du moins selon Sono, apparemment assez calme, imperturbable. Elle semble moins curieuse, plus réservé sur l'option d'une relation fille/fille contrairement à Sono pour qui cela semble évident.

Hiroko
Jeune fille étudiant dans la même école que Sato et qui finira avec Sono..... C'est tout.... désolé x)

Présentation de personnages un peu vide, mais j'y reviens après, partez pas....
-Avis Sur La Série :
Premièrement, je ne sais pas pourquoi j'ai lu ce titre, je m’intéresse pas spécialement au Yuri pour la présence trop importante sur les scènes de cul (particulièrement pour les one-shots ou "l'histoire" est vraiment concentré sur ces scènes sales). Donc on commence par le point flagrant (?) les scènes de cul, je ne m'attendais clairement pas à ce qu'il n'y en ait pas, avant même la page de sommaire, on a droit à une image de boobs.
La première de ces scènes est acceptable sachant qu'elle permet à peu près un déclenchement du scénario bien que celui-ci aurait pu tout aussi bien être lancé d'une autre manière plus ou moins proche. Puis la scène de cul "finale" elle est ok, elle s'inscrit au moins de manière logique dans la suite des événements et est assez bien utilisée..
On notera que les scènes de cul ne sont pas exagérés et mises en avant inutilement et ce n'est pas du cul pour du cul ou du moins pas trop parce que la scène "elle s'était évanouie en pleine rue il y a quelques minutes mais elle vient de se réveiller donc je peux commencer à la tripoter" .... NAN , jute nan... pas maintenant....

Bon next, les dessins sont beaux, ce qui ne rend la lecture que plus agréable, c'est tout ce que j'ai à dire sur ça, éventuellement "c'est subjectif tu as le droit de penser pas pareil" tout ça tout ça....
Pourquoi faut-il lire ce truc ? Ou pourquoi faut-il ne pas le lire ?
Je te dis de le lire, puis c'est court (c'est un vrai argument).
L'histoire nous offre un rythme plus ou moins parfait, ni trop rapide, ni trop lent, parfait pour que l'histoire soit complète et arrive à son terme de manière très convenable sans rallonger ni écourter inutilement l'histoire.
Les personnages pouvant représenter n'importe qui et donc n'ont pas de grosses particularités, de passé spécial ou autre, ce qui doit être une raison pour laquelle l’œuvre ne fait que 150 pages et donc l'avantage d'avoir ces personnages qui peuvent représenter n'importe qui, c'est d'avoir des personnages assez réalistes et assez attachant bien que ces personnages soient finalement limités au nombre de trois (enfin c'est un one-shot quoi).

Bon je suppose qu'on doit parler des thèmes, comme on s'y attend ce n'est pas le truc super profond transcendant, mais ça reste assez beau, l'amour fait souffrir, l'amour à sens unique, ou autres du genre... rien de fou mais c'est logique vu que l'on suit de jeunes filles qui vivent leurs premières expériences amoureuses, les faire se poser des questions/réflexions aussi simple contribue au réalisme et à l'attachement pour ces jeunes filles.
J'en profiterai pour rappeler qu'une œuvre n'a pas besoin d’être transcendante/ultra profonde/etc... pour être appréciable et agréable à voir, certes les vrais gens dirons que c'est évident mais voila :3
-Conclusion :
Kimi Koi Limit est une belle petite histoire qui nous fait passer un bon moment, malgré le côté yuri il y a peu de scènes de cul inutiles et exagérées (ça doit surtout être ça qui m'a fait plaisir). Donc à lire pour un petit moment sympa (malgré la tristesse amoureuse un peu présente).
Très bonne découverte pour moi, un très bon moment de la part d'un one-shot dont je n'attendais rien (en même temps je l'ai commencé sans même connaitre le synopsis).
Postface

Deuxième truc écrit inutile, je suis fier de moi vu que j'ai passé un mois à la recherche d'un sujet, j'avais l'espoir de lire un certain truc puis de le faire si c'était aussi bien que je m'y attendais... finalement je l'ai toujours pas lu pour diverses raisons. '-'
Bon après un mois pour trois pages c'est la tristesse un peu, mais bon c'est un one-shot donc je ne pouvais pas faire dix pages (c'est très l'excuse mais bon en vrai ça me va comme ça '-') puis l'avantage c'est qu'après avoir attendu un mois je peux le sortir vite, j’espère juste que le prochain sortira vite :3
D'ailleurs il y aura un hébergeur à la sortie de ce truc, celui sur Panty & Stocking était hébergé de manière tellement sale..... c'est la tristesse.
Comme le postface est un truc inutile pour mettre des trucs inutiles, j'ai remarqué (cc le FAQ de Théo et de Cléclé) que personne ne sait prononce Aquillia comme il faut, je vous déteste.....
A dans un mois, enjoy' :3
-Aqui-
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